La quatrième de couverture laissait présager d'une oeuvre un peu semblable à La cantatrice avariée du même auteur, il n'en est rien.
C'est un roman sur le souvenir, souvenirs des habitants, des paysages, de l'enfance...
Et il se dégage de ce livre une nostalgie à laquelle il est bien difficile de rester insensible.
Pour autant, c'est loin d'être mièvre, l'écriture est (comme toujours chez Jourde) servie par un style magnifique.
J'en ai noté deux fragments pour une potentielle composition calligraphique :
les qualités de ce qu'on aime
le mystère de la création du monde
Si vous ne connaissez pas Pierre Jourde, ne manquez pas d'y jeter un oeil lors de votre prochain passage chez le libraire, c'est un grand auteur !
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